dimanche 6 juillet 2008

Fantasia part 1

Ça y est, j'ai plongé dans l'univers fantastique de mon festival favori. Un petit début sous le signe de l'Espagne puisque les trois films vus jusqu'à présent proviennent de ce pays. Tout d'abord, The Baby's Room qui s'est finalement avéré être un TV movie faisant partie de la série Peliculas para no dormir. J'avais fait mes sélection à partir du site web et cette partie m'avait échappé (ben oui, des fois je lis un peu vite ;-p) ainsi que le fait qu'il s'agissait d'un programme double. En effet, le Baby's Room de Alex De la Iglesia était suivi d'un deuxième film To Let (du mec qui a aussi écrit Rec) et qui avait encore rapport aux bébés. Est-ce à dire que ce qui garde éveillé est un bébé ? ha ! ha !


J'admets avoir été un peu déçue lorsque j'ai réalisé que j'allais voir un, puis deux, TV movie. Mais, agréable surprise, ces deux petits films (environ 1h15 chacun) se sont avérés fort efficaces. Le premier, même s'il traitait d'un sujet pas nécessairement follement original (les mondes parallèles et les ouvertures entre ceux-ci) était fort bien joué et le suspense m'a gardée en haleine jusqu'à la fin. Le deuxième était plus "gory" mais, encore une fois, bien efficace. Il ne faut pas oublier le public qui, à Fantasia, compte beaucoup. Les gens aiment lorsque ça saigne et en redemande toujours.


Le lendemain, j'ai vu Rec. J'en avais beaucoup entendu parler, un remake américain doit également sortir sous peu. Sais pas ce que les voisins du sud en feront mais, malgré quelques trucs pas toujours logiques ou conséquants, c'était un très bon moment. Stressant à souhait et les sauts étaient au rendez-vous ! Encore une fois, le public conquis d'avance du festival a peut-être fait pencher la balance et a contribué à mon appréciation du film. Que voulez-vous, Fantasia, c'est un vrai trip de gang.

Je garde ça court, puisque j'enverrai quelques critiques à Brins d'éternité et que j'aimerais bien éviter la redite. J'espère que ce début de festival augure bien pour la suite. Next stop : Accuracy of Death qui met en scène La Mort (un mignon grim reaper japonais même). Je ne pouvais pas rater ça. ;-)

Aucun commentaire: