dimanche 26 avril 2009

Québec-Montréal




Je pique le titre d'un film que j'ai beaucoup aimé pour jasouiller un poil de Québec où j'ai passé deux jours récemment et de Montréal, parce que sinon le titre de mon billet n'aurait pas de sens. ;-)

J'aime beaucoup Montréal, entre les Nordiques et les Canadiens, je prends pour ces derniers (même s'ils sont poches cette année) mais Québec, c'est beau. :-)

J'adooore me promener dans le Vieux-Québec (et lâcher lousse le kid-kodak en moi), je trouve ses rues en pentes absolument charmantes et, comble du bonheur, j'y ai croisé un écureuil noir. J'aime beaucoup les écureuils, je trouve ces petites bêtes mignonnes, même si certains les considèrent comme des rats à grosses queue. ;-)

En haut, mon écureuil de Québec, au-dessous, un cousin gris de Montréal.



Lors d'un périple récent en Abitibi, je me suis trouvé un amour certain pour l'homme en noir, Johnny Cash. J'avais oublié d'apporter des CD et, dans un Maxi (!!) j'ai acheté un CD de ses plus grands succès, eh bien ces chansons m'ont accompagnée durant deux jours non-stop ! C'était sympa de voir que mon chemin recroisait le sien à Québec (deux voyages effectués pour le boulot).



Aaah, le Château Frontenac, il est tout simplement photogénique. C'est pas original, mais c'est souvent là que me mène mes promenades, c'est un bon point pour débuter l'exploration de la vieille ville. Et pour moi qui se perd souvent, c'est facile à trouver. ;-)



L'ami Sam, sur son socle perché.



J'ai croisé un nain de jardin... mais planté dans un pot !




Un promenade nocturne sous une fine pluie a mené nos pas vers le cimetière St-Matthew (plus vieux cimetière protestant de la ville... de la province même peut-être ?) avec cette pierre tombale fusionnée à un arbre.




Malheureusement, quitter Québec un vendredi soir à l'heure du souper, c'est pas mal comme quitter Montréal... sauf que le pont est un ti-peu plus beau.... quand on y arrive enfin ! ;-)

Tiens, ça me donne envie de revoir le film de Ricardo Trogi.

vendredi 3 avril 2009

Virée Ottawaienne !

Ben oui, un lien entre Ottawa et Hawaii, faut le faire... bon, c'est seulement dans ma tête et dû à une vague sonorité (tirée par les cheveux, vous dites ?) car, bien que la journée fut vraiment agréable, elle n'eut rien, mais alors vraiment rien, d'hawaienne. ;-)

Ça faisait des année que je voulais refaire la tournée des musée à Ottawa. Dès notre arrivée au Musée canadien des civilisations (de Gatineau, pas Ottawa, I know), le pluriel de "musées" a pris le bord. On est arrivé à midi et le musée prenait un bon gros 4-5 heures à visiter. Tant pis, on se reprendra pour les autres et je resterai sur ma fin côté dinosaures. J'avais vraiment envie de voir des grosses répliques de dinos; que voulez-vous, je suis une enfant dans l'âme. ;-) Mais le Musée canadien de la nature, ce sera pour une prochaine fois.

Mais il n'y a pas que les dinos dans la vie, il y a aussi l'Égypte, et le Musée des civilisations présente une exposition sur l'Égypte avec des momies, des vraies ! Fascinant !

Mais, first things first, il faut d'abord se rendre.



Après un bon p'tit bout de route, victoire ! Nous y voici !





Malheureusement, la seule exposition où les photos étaient interdites, étaient celle sur l'Égypte. Mais bon, on comprend qu'on ne va pas bombarder de flash des artéfacts vieux de milliers d'année. Le souvenir est, dans mon esprit, impérissable, mais pas de photos pour la postérité. Le reste du musée permettait cependant les photos, alors en voici quelques unes. D'ailleurs, que faisait-on avant l'ère de la photographie numérique ?? Maintenant, je peux facilement prendre une centaine de photo d'un événement, alors qu'avant, il fallait compter le prix du développement. Gulp.

Ce que j'ai pu phorographier de l'expo sur l'Égypte. ;-)

Quelques photos en vrac de notre journée.

Musée des Beaux-arts et sa grosse araignée.

Un p'tit bout du nusée de la civilisation avec le parlement en arrière plan (on est touriste ou on ne l'est pas !)



Hot totem ! (one of many)



J'aimerais avoir quelque chose d'intelligent à dire sur ce dessin, mais si je l'ai pris en photo, c'est simplement quwe je le trouvais beau. J'aime beaucoup ce style d'art autochtone.



Reconstitution d'époque. Si j'avais une bonne mémoire, je mettrais une date ici. ;-)

Petite partie d'une collection de masques.



Salle on on reconstituait des sites de fouilles.



Superbe toile qui m'a beaucoup plu. J'aime les couleur et... les yeux "gelés" des persos. ;-)


Vue du parlement (un ti-bout !) de l'intérieur du musée.

Masque de Jacques Plante (gardien des Canadiens). Première fois qu'un gardien de but portait un masque dans un match (1er novembre 1959). C'est assez "basic" comme protection, non ?

Partie d'une oeuvre composée entièrement de timbres (Musée de la poste).

Retour sous la pluie !

jeudi 2 avril 2009

Life on Mars

2008, Sam Tyler, un détective de New York se fait frapper par une voiture... et se réveille en 1973.

Les années 70 pour quelqu'un qui vit à l'aube du deuxième millénaire, c'est aussi extra-terrestre que d'être téléporté sur Mars. La prémisse SF de Life on Mars m'a tout de suite interpellée. Bon, pas tout de suite puisque l'originale est british (comme beaucoup de bonnes séries télé), mais dès que j'ai vu la promo pour cette nouvelle série (made in the US) ça m'a intriguée. Mais, comme il n'y a pas que la télé dans la vie, je ne l'ai pas regardée tout de suite. Puis, un soir, je suis tombée par hasard sur un bout de l'émission et de même une ou deux semaines plus tard et c'était fait, j'avais la piqûre !

Il faut dire que la reconstitution de l'époque est absolument divine. Les vêtements, les voitures, la mentalité très, très macho, tout y est. Pour moi, les années 70 c'est ma petite enfance, de revoir ces couleurs, ces cheveux, ces moustaches est une expérience délicieuse. Et les comédiens sont excellents, Harvey Keitel bien sûr, mais aussi Michael Imperioli avec sa divine moustache et son attitude macho totale, Jason O'Mara en expatrié hors de son temps et Gretchen Mol dans le rôle de "no-nuts Norris", femme essayant de trouver sa place dans un monde d'hommes. Parce qu'en 1973, des policières, c'était tout nouveau.

Nous suivons donc Sam expatrié dans cette décennie, on le voit s'ajuster à ce nouvel environnement, mais sans jamais perdre de vue son but : retourner à son époque. C'est une courte série, 17 épisodes, avec un début et une fin. Contrairement à la tendance américaine (prendre une courte série britannique et en faire un tas de saisons) ils ont conservé le format de la série d'une saison. À la fin, Sam retrouvera-t-il son époque ? Est-il dans un délire ? Dans un coma ? A-t-il été enlevé par des extra-terrestres ? Il faut voir la série pour l'apprendre...

Pour ma part, il me reste à voir la version britannique afin de comparer les deux... mais surtout de faire durer le plaisir puisque la version américaine se terminait hier. Je suis un peu en deuil. Comme chaque fois qu'un bonne série se termine. :o)